Chaque semaine, nous surveillons la parution d’études intéressantes en lien avec le domaine du développement de carrière. Voici cinq études qui ont attiré notre attention dernièrement.
La transition des études au travail : indicateur NEET (ni en emploi, ni aux études, ni en formation) pour les jeunes âgés de 20 à 24 ans au Canada
Les jeunes qui ne sont ni aux études, ni en emploi, ni en formation, forment le groupe des NEET (de l’anglais « Not in Education or Employment or Training »). Ce feuillet d’information se concentre sur les jeunes NEET âgés de 20 à 24 ans. Il est le dernier de trois feuillets qui approfondissent la compréhension de la population NEET au Canada selon les trois groupes d’âge habituellement considérés pour étudier la transition de l’école vers le travail (les 15-19 ans, les 20-24 ans et les 25-29 ans).
Le tic-tac de l’horloge démographique du Canada
En l’espace de quelques minutes, un outil en ligne de Statistique Canada offre un aperçu évocateur de la population canadienne en constante évolution grâce à une série de modélisations statistiques d’événements démographiques. Cette « horloge démographique » – mise en service peu de temps après la fête du Canada, l’an dernier – utilise les données de l’agence fédérale pour illustrer en temps réel les principales tendances démographiques du pays, telles que les naissances, les décès, l’immigration et l’émigration.
Ceci n’est pas une compétence : le défi de la mesure des déficits de compétences
Les déficits de compétences actuels et futurs au Canada sont une grande source de préoccupation des décideurs depuis des années. L’appel à l’action persistant a été d’identifier avec une certaine précision les besoins en compétences des employeurs et des employés. Comme notre récente étude d’opinion publique l’a montré, les « compétences requises » sont des informations très recherchées par les individus (au deuxième rang après les salaires), et trouver des travailleurs qualifiés et compétents est un défi important en ressources humaines pour les entreprises canadiennes (au deuxième rang après la rétention du personnel).
Bulletin sur le marché du travail au Québec de juin 2019
Pour la deuxième fois cette année, le taux de chômage est sous la barre des 5 % (à 4,9 %). En juin, l’emploi a peu varié au Québec (+1 800; +0,0 %) et au Canada (-2 200; -0,0 %), comparativement au mois dernier.
Canada : Les salaires ont grimpé en flèche au premier semestre de 2019
Malgré une pause en juin, la création d’emplois reste vigoureuse en 2019. Premièrement, les détails du rapport sur l’emploi de juin sont bons avec l’ajout de 24K emplois à plein temps et un rebond de 20K de l’emploi privé. D’une année à l’autre, l’emploi au Canada a bondi de pas moins de 248K postes, ce qui représente le meilleur semestre depuis 2002.
Avons-nous oublié quelque chose? Laissez un commentaire ci-dessous ou envoyez-nous un courriel à admin@orientaction.ca si vous avez des informations qui pourraient nous aider à rendre cet article encore meilleur!