Chaque semaine, nous surveillons la parution d’études intéressantes en lien avec le domaine du développement de carrière. Voici huit études qui ont attiré notre attention dernièrement.
Les employés Canadiens expriment leur point de vue sur le milieu de travail actuel et après la pandémie
Les professionnels du Canada sont passés du choc de la vie en confinement à plusieurs semaines passées à travailler sur la table de la cuisine et dans des bureaux improvisés. Toutefois, bon nombre d’entre eux portent désormais leur attention sur leur retour imminent à leur lieu de travail et sur la nouvelle normalité. Robert Half a interrogé 500 professionnels du Canada pour en savoir plus sur leur situation actuelle, leurs préoccupations quant à leur avenir au travail et ce qui, selon eux, changera le plus.
Les inquiétudes sociales et économiques des immigrants au cours de la pandémie de COVID-19
Tous les Canadiens sont préoccupés par les ramifications sociales, économiques et de santé qui sont liées à la COVID-19. Cependant, une courte étude publiée aujourd’hui donne à penser que les immigrants au Canada pourraient avoir de plus grandes inquiétudes au sujet de la COVID-19 que les personnes nées au Canada.
Les professions à risque sont-elles plus occupées par des femmes?
De l’hôpital à l’épicerie, les femmes occupent de nombreux postes dans les services essentiels. Elles seront également aux premières loges du déconfinement dans les écoles et les garderies, qui débutera le 11 mai dans certaines régions du Québec. Au-delà des impressions, les emplois occupés par les femmes impliquent-ils une plus grande exposition au virus? Réponse en graphique.
Le télétravail favoriserait la productivité et l’innovation, selon une étude
Près de 4 personnes sur 10 (39 %) sont disposées ou très disposées à continuer le travail à domicile lorsque les mesures de confinement seront levées. Elles sont toutefois presque aussi nombreuses (37 %) à être peu ou pas du tout enclines à poursuivre le télétravail lorsqu’elles pourront retourner au bureau. C’est là l’une des tendances qui se dégage de l’analyse des données préliminaires d’une recherche portant sur l’adaptation au travail à distance en contexte de pandémie, à laquelle 1614 personnes ont participé du 4 au 17 avril.
Sondage: Le confinement est néfaste pour la santé mentale
Un peu plus d’un Canadien sur deux éprouve des difficultés liées à leur santé mentale en raison du confinement, a indiqué lundi un sondage Ipsos commandé par l’assureur Sun Life. Ils sont 56 % des répondants à indiquer que la COVID-19 avait eu une incidence néfaste sur leur santé mentale, nommant l’isolement social comme facteur principal, puisque pour beaucoup, la vie extérieure se résume à aller à l’épicerie ou la pharmacie.
Enquête sur la population active, avril 2020
Les circonstances exceptionnelles se poursuivent sur le marché du travail. En réponse à la propagation rapide de la COVID-19 en février, et à la déclaration d’une pandémie mondiale par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) le 11 mars, un certain nombre de mesures ont été mises en place au Canada en mars, dont des restrictions relatives aux voyages, des fermetures d’entreprises et des mesures d’éloignement physique. L’entrée en vigueur et la portée de ces mesures ont varié d’une province à l’autre.
Répercussions de la pandémie de COVID-19 sur les étudiants du niveau postsecondaire
Les Canadiens sont confrontés à des défis sans précédent en raison de la COVID-19. Les étudiants n’y échappent pas. Non seulement leurs études ont été interrompues, mais ils sont nombreux à avoir perdu un emploi ou une perspective d’emploi, ce qui soulève des préoccupations en ce qui concerne leur situation financière et leur avenir scolaire. Du 19 avril au 1er mai 2020, plus de 100 000 étudiants du niveau postsecondaire ont pris part à une initiative de collecte de données en ligne fondée sur une approche participative au sujet des répercussions de la pandémie de la COVID-19 sur leur situation à l’égard de leurs études, du marché du travail et de leurs finances.
Canada : La COVID-19 massacre le marché du travail en avril
En avril, l’Enquête sur la population active a été menée alors que les mesures de confinement étaient pleinement appliquées au Canada. Les pertes cumulées de mars et d’avril se chiffrent à un total de 3 millions d’emplois en raison des fermetures de services non essentiels, ce qui représente une baisse spectaculaire de 16 % des effectifs des travailleurs. Le taux de chômage est au plus haut depuis décembre 1982, mais ce chiffre ne donne qu’une idée partielle de l’hémorragie, car le taux d’activité a fortement diminué ces deux derniers mois.
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