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La sélection d’un programme d’études ou de formation après le secondaire est un moment déterminant dans l’existence des jeunes. Pour promouvoir les formations qui conduisent aux métiers et professions clés de l’industrie minière au Québec, l’Institut national des mines a créé une nouvelle page Web : Québec.ca/formation-minière. Cette plateforme propose plus de 30 programmes d’études et de formation orientés vers ce secteur important du Québec.
Cette nouvelle section Web fait découvrir ce secteur en pleine évolution depuis les dix dernières années, mais souvent méconnu de la population. En plus de mettre en valeur des perspectives professionnelles, la section nous permet, par la voie de la formation, de rendre le secteur minier plus accessible. Des domaines tels que la géologie, la mécanique, l’ingénierie, l’environnement ou encore la gestion d’une salle de contrôle sont représentés par une multitude de formations tout comme de métiers et professions proposés.
Témoignages authentiques pour inspirer une nouvelle génération
Pour mieux appréhender l’univers singulier de l’industrie minière, l’Institut national des mines a lancé une vaste campagne intitulée « Le secteur minier, un monde à explorer ». Au cœur de la campagne, des capsules vidéo présentent le témoignage de jeunes professionnels passionnés du secteur minier. Ces récits authentiques illustrent la diversité des métiers et des professions, les défis stimulants et les occasions qu’offre le secteur minier. À travers le témoignage de travailleuses et de travailleurs des mines Odyssey, Lamaque, Westwood, Kiena et du complexe minier LaRonde, nous découvrons l’authenticité des personnalités qui travaillent dans le secteur minier, leur motivation, leur formation et leur travail. Les portraits témoignent également de l’effet bénéfique que les jeunes peuvent engendrer en intégrant ce secteur indispensable pour notre économie.
Une campagne basée sur les besoins du secteur minier québécois
Avant de mettre en œuvre cette campagne, l’Institut a mené un sondage auprès des intervenants en ressources humaines des projets miniers et entreprises minières afin de déterminer les besoins réels de formation. Les conclusions ont révélé une demande significative pour des travailleuses et travailleurs qualifiés dans divers programmes : le diplôme d’études professionnelles (DEP) en mécanique d’engins de chantier, le diplôme d’études collégiales (DEC) en technologie minérale et le baccalauréat (BAC) en génie des mines.
Québec.ca/formation-minière
Cette section rassemble toute l’information sur les programmes de formation et d’études offerts au Québec, incluant les formations professionnelles, collégiales ou universitaires. En quelques clics, les visiteurs ont la possibilité d’explorer les programmes qui correspondent à leurs centres d’intérêt, de localiser les institutions proposant ces études et de faire la connaissance d’une travailleuse ou d’un travailleur diplômé de la formation minière québécoise. Ces formations ouvrent la voie à des carrières diversifiées et bien rémunérées, répondant aux besoins d’une industrie en pleine transformation technologique.
Grâce à cette initiative, l’Institut national des mines ne se limite pas à satisfaire les exigences actuelles de l’industrie, il prépare également le terrain pour une nouvelle génération de professionnels compétents et engagés, aptes à faire face aux enjeux du domaine minier. L’Institut a pour vision de favoriser une éducation minière de premier ordre et d’éveiller l’intérêt des jeunes Québécois et de leurs familles pour les carrières et les professions liées au secteur.
Rappelons que l’industrie minière devra pourvoir d’ici 2033 plus de 24 000 emplois, dont plus de la moitié (54 %) vont requérir une formation professionnelle et plus du tiers, un programme d’enseignement supérieur en formation collégiale (19 %) et en formation universitaire (14 %)1.
Pour en savoir plus, l’Institut national des mines encourage les professionnelles et professionnels en orientation à parcourir le portail Québec.ca/formation-minière et à s’inscrire à l’infolettre afin de découvrir celles et ceux qui évoluent dans ce secteur en constant changement.
* Dans le but d’alléger le texte et d’en faciliter la lecture, le générique masculin est utilisé comme genre neutre.
