Chaque semaine, nous surveillons la parution d’études intéressantes en lien avec le domaine du développement de carrière. Voici quatre études qui ont attiré notre attention dernièrement.
Presque 4 travailleurs sur 10 sont moins motivés au travail depuis le début de la pandémie
Morneau Shepell, un grand fournisseur de services de mieux-être global, de santé mentale et de santé mentale numérique au Canada, a publié son rapport mensuel sur l’Indice de santé mentale, selon lequel six mois après le début de la pandémie, la tendance observée quant au déclin de la santé mentale des Canadiens se maintient. D’après les conclusions du rapport, l’état de santé mentale précaire de la population pourrait persister longtemps, compte tenu des inquiétudes liées à la deuxième vague, de la possibilité d’un autre confinement et de l’incertitude constante entourant un éventuel retour à la normale et l’avenir.
Étude : L’incidence des programmes courts après l’obtention d’un grade de premier cycle sur les résultats sur le marché du travail
Tant au Canada qu’ailleurs dans le monde, le marché du travail est en constante mutation et exige le maintien et l’acquisition de nouvelles connaissances axées sur les compétences requises en raison de la transformation de l’industrie. Ces changements affectent le comportement des travailleurs non seulement au Canada, mais dans tous les pays développés ou émergents. La transition de l’école au travail est devenue un sujet d’intérêt pour les employeurs, les employés, les étudiants et les décideurs. Afin de répondre aux exigences du marché du travail, de nombreux Canadiens complètent leur formation postsecondaire par l’ajout de programmes courts, souvent considérés comme un outil de spécialisation.
La grande majorité des élèves fréquentaient un établissement d’enseignement public avant la pandémie
Plus de 5,6 millions d’élèves au Canada étaient inscrits à un programme d’enseignement primaire ou secondaire en 2018-2019, avant le début de la pandémie de COVID-19. Ces élèves fréquentaient des établissements d’enseignement publics, privés ou indépendants ou encore suivaient un enseignement à domicile. Au cours de la même année scolaire, plus de 380 000 élèves ont obtenu un diplôme d’un établissement d’enseignement secondaire canadien.
Répercussions de la pandémie de COVID-19 sur l’indicateur NEET (ni en emploi, ni aux études, ni en formation), mars et avril 2020
L’étude des taux NEET, dans le contexte de la pandémie de COVID-19, peut permettre de déterminer si l’incertitude économique générée par la pandémie pousse les jeunes à retarder leur transition des études vers le marché du travail. De plus, la manière dont l’enseignement a été offert pendant la pandémie (par exemple, le passage à l’apprentissage en ligne) peut influencer les décisions des jeunes adultes en ce qui a trait au commencement ou à la poursuite d’un programme d’études, ce qui peut se refléter dans l’indicateur NEET.
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