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Depuis la pandémie de COVID-19, le télétravail a pris une place beaucoup plus importante et il devient de plus en plus difficile de déterminer les limites entre la vie professionnelle et la vie personnelle. Le droit à la déconnexion est sans contredit un sujet d’actualité. Nous vous proposons quelques articles afin de mieux comprendre le concept et de savoir ce qui se fait au Canada en lien avec le droit à la déconnexion.
Le droit à la déconnexion : une réflexion s’impose
La pandémie de la COVID-19 a provoqué un déploiement à grande échelle du télétravail, une modalité de travail qui était autrefois considérée comme atypique ou exceptionnelle. Certes, les avantages sont nombreux (adieu les embouteillages, bonjour la flexibilité!), mais cette façon de travailler (et la connexion constante aux appareils mobiles) peut également embrouiller la frontière entre la vie professionnelle des travailleurs et leur vie personnelle et ainsi augmenter le risque d’hyperconnectivité.
Le droit à la déconnexion : pourquoi et comment?
Depuis la période de la pandémie de COVID-19, la généralisation du télétravail a brouillé les limites entre le travail et la vie personnelle. La question d’un droit à la déconnexion est ainsi apparue dans les débats. Cet article fait le point sur ce qu’il en est au Canada en expliquant pourquoi un tel droit peut être nécessaire, et la façon de s’y prendre concrètement pour le mettre en pratique dès maintenant.
5 bonnes pratiques pour instaurer une culture de «déconnexion»
Dans un sondage d’ADP publié le 12 octobre, on apprend que 32 % des travailleurs québécois ne se sentent pas « en mesure de fixer des limites au travail afin de maintenir un équilibre travail-vie personnelle ». Au-delà des politiques, des vœux et des bonnes intentions, cet article présente les points de vue de gestionnaires et professionnels RH sur ce qu’ils font concrètement pour instaurer une culture de déconnexion.
Oui, ce message reçu en dehors des heures de travail peut attendre
Depuis la pandémie, le télétravail brouille les frontières du bureau et des horaires. Si cela vous préoccupe, bonne nouvelle : le débat sur le droit à la déconnexion s’est récemment ravivé au Québec. Et dans l’optique d’adopter des pratiques de travail saines pour l’année qui commence, il est temps de vous familiariser avec le concept.
La déconnexion, source de mobilisation
Un flou semble avoir pris place entre la frontière définissant la vie personnelle de la vie professionnelle. On parle de plus en plus d’hyperconnectivité, de charge mentale et d’embrouille entre les heures de travail et les heures à usage personnel. Le sujet de la déconnexion amène plusieurs organisations à réfléchir collectivement à la mise en place des meilleures pratiques pour faciliter l’harmonisation entre les obligations professionnelles et personnelles.
Droit à la déconnexion : les limites de la loi
Depuis que la France a légiféré en 2017 sur le droit à la déconnexion, une douzaine de pays l’ont imitée, dont l’Italie, la Belgique, l’Irlande, le Pérou, l’Espagne et la Corée du Sud. De telles lois visent à « sanctuariser » le repos des employés et à réduire l’empiètement du travail sur leurs temps de pause, leurs soirées, leurs week-ends et leurs vacances. En Amérique, l’Ontario est la seule juridiction à être allé dans cette voie. Le gouvernement du Québec s’y refuse toujours.
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