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Chaque semaine, nous surveillons la parution d’études intéressantes en lien avec le domaine du développement de carrière. Voici 6 études qui ont attiré notre attention dernièrement.
Semaine de 4 jours : les Québécois votent majoritairement pour… si on ne diminue pas ou peu leur salaire!
D’après une étude de la plateforme de recherche d’emploi, basée à Montréal, Talent.com, 95 % des Québécois sont intéressés par la semaine de travail de quatre jours. Une idée pour lutter contre la pénurie de main-d’œuvre? Cette enquête, réalisée en ligne début avril par YouGov, pour Talent.com auprès de 1003 adultes canadiens actifs, représentatifs de la population nationale active canadienne, donne un riche aperçu de cette tendance émergente qu’est la semaine de 4 jours.
Les travailleurs de la génération Z en quête de flexibilité et de bien-être
Travailler pour s’accomplir et non vivre pour travailler : la génération Z n’est pas prête à tout sur le plan professionnel et préfère de loin profiter de ses temps libres que de faire du temps supplémentaire, révèle un sondage réalisé par Angus Reid pour Indeed Canada.
Emploi, rémunération et heures de travail, et postes vacants, février 2023
Le nombre d’employés recevant une rémunération ou des avantages sociaux de leur employeur, appelés « employés salariés » dans le cadre de l’Enquête sur l’emploi, la rémunération et les heures de travail, a augmenté de 62 500 (+0,3 %) en février, après avoir progressé de 75 300 (+0,4 %) en janvier. La hausse porte à 342 200 (+1,9 %) l’augmentation cumulative de septembre 2022 à février 2023.
Les entreprises québécoises peinent plus à attirer des talents qu’ailleurs au pays
La pénurie de main-d’œuvre est bien installée, et fait souffrir une part plus importante d’organisations au Québec qu’ailleurs au Canada, démontre un sondage mené pour le compte du fournisseur de solutions de gestion infonuagiques Cegid.
Enquête canadienne sur le revenu, 2021
En 2021, le revenu médian après impôt des familles et des personnes hors famille au Canada s’est chiffré à 68 400 $, un niveau assez semblable à celui de 2020. Compte tenu de la réduction des fermetures économiques liées à la pandémie de COVID-19, le revenu du marché a augmenté en 2021, principalement en raison d’une remontée du revenu d’emploi et d’une diminution de la dépendance aux programmes d’aide liés à la COVID-19. Malgré un revenu après impôt relativement stable, le taux officiel de pauvreté au Canada a augmenté de 1,0 point de pourcentage pour s’établir à 7,4 % en 2021, mais il est resté bien en deçà du taux de pauvreté enregistré avant la pandémie (10,3 % en 2019).
La santé mentale ébranlée par les traumatismes
Près de deux travailleurs sur cinq ont subi un traumatisme qui a eu des répercussions à long terme sur leur santé mentale. Sous-estime-t-on l’ampleur des traumatismes vécus par les travailleurs? C’est ce que laisse entrevoir le dernier rapport sur l’indice de santé mentale de Telus Santé, qui pointe le fait que 39 % des travailleurs ont subi un traumatisme qui a eu des répercussions à long terme sur leur santé mentale.
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